À mes Amours qui ont partagé ma vie…
Sentir ton corps, tout ton être qui se tord… souriant de douleurs…
Sentir ton heure poindre au coeur d’une chambre qui pâlie de mots tendres.
Sentir ma fois qui se dérobe ,a chaque foie ,que tu sembles comprendre …
Ronronne encore… si tu t’endors…
Si c’est ton souhait, je resterai allongé prés de ton panier…
Qui te condamne ! Au nom de qui ! Mais qui s’acharne à souffler tes bougies !
Est-ce te mentir, est ce te trahir, si je t’invente des lendemains qui chante…
Vois tu le noir de ce tunnel ? Sais-tu l’espoir quand jaillit la lumière !
Comme les nuages, nos vies… juste un passage.
Bientôt réunis à jamais, en attendant je vois que vous m’accompagnez
pourtant à chaque départ une entaille…
Vos souvenirs ne cesseront jamais de remuer le couteau dans mes plaies ….